Ce qui suit est un article que j’avais proposé à la
publication sur différents sites d’information à vocation participative.
En attente de publication sur Agoravox depuis plusieurs
jours (un bug surement), il ne sera sans doute jamais diffusé.
Il présentait l’échange que j’ai pu avoir avec un autre site
similaire – Rue89 pour ne pas le nommer – et la réponse que le co-fondateur du
site m’avait adressée à ce sujet.
En soumettant cet article, j’expliquais les raisons pour lesquelles
celui-ci était si long, le sujet
étant si sensible je préférais être, autant que possible, exhaustif afin
d’éviter toute ambigüité quant à ma position et toute mauvaise interprétation
du propos qui, à mon sens, ne peut être considéré que dans le contexte global
dans lequel il s’inscrit.
La réaction du site en question est intéressante puisque, d’une certaine façon,
elle confirme, outre la « ligne éditoriale » du site, mon propos,
cette tendance actuelle que l'on retrouve dans la quasi totalité des médias
et qui voudrait que soit imposée une et une seule vision, ferme et
définitive, de Dieudonné, là ou je voulais justement ouvrir un débat.
Mes arguments étaient-ils totalement faux, naïfs ?
C’est possible.
L’affaire actuelle ne laisse t’elle vraiment aucune place au
débat ?
Soucieux d’élever mon niveau d’analyse, de clairvoyance,
certains d’entre vous pourront certainement m’éclairer à ce sujet.
Affaire
Dieudonné ? Non, affaire de tous.
Tout le monde s’accorde à dire que la liberté d’expression est la possibilité
de pouvoir tout dire, éventuellement d’en rire, tout en sachant que cette
liberté (comme toutes) est encadrée par la loi, dont l’application des
sanctions dépendra de l’analyse des propos tenus proprement dit mais aussi de
leur interprétation, laquelle dépend de l’appréciation personnelle de chacun,
le cas échant d’un juge, interprétation qui variera suivant que celle-ci est
indépendante et objective ou orientée.
Cette question de l’interprétation est au cœur de cette affaire, à plus forte
raison s’agissant d’un spectacle humoristique.
Un des exemples, le dernier en date, étant que Dieudonné a modifié son
spectacle mais que certains continuent à (vouloir ?) y voir une propagande
antisémite.
Le fait que la notion même de liberté d’expression fasse elle aussi l’objet
d’interprétation montre bien que, dès le départ, nous ne parlons apparemment
pas tous de la même chose. Peut-être faudrait-il commencer par là !
Ce problème de l’interprétation est, plus largement, dans
tout ce qui a pu entourer Dieudonné depuis ce fameux sketch à l’origine de ce
qui deviendra « le cas Dieudonné », le sketch du colon israélien (colon
israélien et non, sauf erreur, colon juif – distinction que certains jugent
trop subtile mais qui n’est pas anodine).
Je n’y ai personnellement jamais vu autre chose qu’un propos politique au
travers d’un personnage tenant un discours (pour mieux le prendre à revers)
convaincu d’être du coté du bien – et donc place tous ceux qui pensent
différemment du côté du mal - avec au final la volonté de dénoncer une
politique injuste.
Et si le fait de finir le sketch par « heil Israel » n’était vraiment pas du
meilleur gout, j’en conviens, il avait au moins le mérite de se poser comme un
avertissement à l’égard de ceux qui appliquent une telle politique et qui,
s’ils n’y prennent pas garde, à terme prendraient le risque de se comporter
voire de ressembler à ceux qui ont été leurs pires ennemis. L’extrémisme
n’étant pas l’apanage d’un camp.
On pourrait en dire de même du sketch où Faurisson, historien reconnu comme un
révisionniste, un négationniste, se voyait remettre le prix de
l’infréquentabilité par un comédien figurant les victimes de l’holocauste.
Je comprends que vu au 1er degré, la mise en scène puisse
pour certains être malsaine et être vu comme méprisante pour la mémoire des
victimes de ce drame de l’histoire.
Je ne suis sans doute pas très intelligent et certains me
taxeront de naïveté mais suis-je vraiment le seul à avoir vu l’ironie du propos
de ce sketch qui, tel que je l’ai interprété, ne servait pas la soupe à
Faurisson mais au contraire mettait cet homme face à ses contradictions, lui
faisant remettre un prix, et par n’importe lequel, par un homme incarnant la
représentation concrète des victimes d’un fait historique dont il remet en
cause les thèses ?
Il en sera enfin de même pour ce qui concerne le cas récent de la fameuse
quenelle et on pourra se demander comment et pourquoi un geste que Dieudonné
fait depuis plusieurs années et qui correspond à un bras d’honneur, une façon
de dire je te la mets dans le c** jusque là, sans qu’il y ait eu, jusqu’à peu,
le moindre problème à ce sujet, soit présenté subitement, du jour au lendemain,
comme un salut nazi.
Je me garderais bien, comme certains le font de m’interroger
sur la coïncidence que l’on pourrait voir dans le fait qu’un telle affaire
surgisse peu après que le président Hollande soit invité au dîner du CRIF.
Néanmoins, il est vrai dire que je suis de ceux qui considèrent que le sionisme
n’est pas un fantasme, tout comme ne le sont pas les réseaux d’influence et les
soutiens (politiques, associatifs, peut-être aussi financiers..) sur lesquels
peuvent s’appuyer ceux qui sont à la tête de ce projet politique.
N’importe quel analyste spécialisé en politique internationale
un tant soit peu objectif et surtout indépendant pourra en faire la
démonstration mieux que je ne saurai le faire.
Et je pensais que l’on pouvait discuter, débattre de politique dans un pays
démocratique. Un droit à l’expression qui laisse la possibilité de critiquer la
politique que mènerait un gouvernement – quand bien même il s’agirait de la
politique d’Israël - et de considérer dans un même temps, si on admet que les
réseaux d’influence sur lesquels cette politique s’appuie existent et peuvent
être considérés comme un lobby, qu’il n’est pas non plus illégitime de parler
des ramifications de ces mêmes réseaux.
Le problème est que l’on marche depuis toujours sur des œufs dès lors que l’on
parle de la politique d’Israël car l’amalgame antisioniste=antisémite est
utilisé de façon automatique et instantané, étant entendu que la parole ne
saurait être laissée à une personne présentée publiquement comme antisémite.
Et cela serait mensonge de prétendre le contraire (il suffira pour s’en
convaincre d’attendre les commentaires que pourrait soulever cet article s’il
est publié) et les cas évoqués ci-dessus en sont la preuve.
Se protéger des attaques est légitime mais n’y a-t-il pas plus attaqué que
celui qui voit des attaques partout ?
Ceci peut s’appliquer à Dieudonné, que l’on disait à ce sujet paranoïaque,
comme il doit aussi pouvoir s’appliquer à ses détracteurs.
On reprochait à Dieudonné de faire une fixation sur les juifs, mais les
associations juives ne font-elle pas une fixation sur Dieudonné, à ne voir dans
ses propos ou gestes que des manifestations antisémites ?
S’il peut être maladroit dans un discours de parler de juif quand ont veut
parler de sioniste, il est intéressant de noter que cet amalgame a été voulu
dans le sionisme lui-même.
Le sionisme n’est-il pas un idéologique politique teintée d’une dimension
religieuse ?
Aspect qui présente donc l’avantage non négligeable de taxer
d’antisémite tous ceux qui critiqueraient la politique d’Israël.
Demandez aux rabbins orthodoxes de la mouvance naturei karta
ce qu’ils en pensent (rabbins qui accessoirement avaient été invités par
Dieudonné pour une conférence durant laquelle ces rabbins expliquaient
justement la distinction très importante à faire entre sionisme- une politique
– et judaïsme – une religion sans, étonnement, que les médias en fassent un
écho particulier).
Même si je pense, en toute bonne foi, présenter des arguments objectifs (y
a-t-il dans ce qui est écrit ci-dessus quelque chose qui soit faux ? Je
remercie par avance ceux qui relèveront des inexactitudes) je veux bien
admettre qu’il s’agit avant tout d’une analyse personnelle.
Mais attention, que l’on ne s’y trompe pas, la décision prise à l’encontre de
Dieudonné d’annuler son spectacle est TRES TRES grave, elle pourrait être lourde
de conséquences et donc nous concerne tous.
Quand Dieudonné a tenu des propos inacceptables, répréhensibles au regard de la
loi, il a été assigné en justice, jugée et condamné et cela est tout à fait
normal.
Or dans cette affaire, Dieudonné n’a pas été sanctionné pour des propos tenus –
il n’a tout simplement pas pu s’exprimer.
Sanctionner celui qui n’a donc pas pu violer la loi n’est pas, ne peut pas, en
tous cas ne devrait pas être considéré comme une condamnation au sens juridique
du terme, comme ont essaye de nous le présenter. (et si j’étais le scénariste
de Minority Report, je demanderais le paiement de
copyright au ministère de l’intérieur)
Il s’agit purement et simplement d’un acte de censure.
Et la censure, comme chacun le sait est une caractéristique,
parmi d’autres, des régimes totalitaires. La censure est donc exercée en 2014,
en France, pays auquel on doit la déclaration des droits de l’homme dans
lesquels la liberté d’expression doit être garantie, pour une affaire qui
concerne le spectacle d’un humoriste.
Et tout ceci se fait ouvertement, de la façon la plus assumée qu’il soit par le
ministre de l’intérieur lui même. Avec par ailleurs l’aplomb tout à fait
formidable de celui-ci qui, triomphant, nous annonce que c’est une victoire de
la République.
Suis-je, là encore, le seul avoir cette sensation d’être passé dans la 4e
dimension ?
Qu’est-ce qui est le plus révoltant ? Le procédé ou cette très désagréable
impression que tout ceci ne fait réagir que trop peu de personnes ? [j’ai pu noter depuis que cela n’était
heureusement pas le cas]
Bon je sais que la plupart des gens ont des préoccupations
plus importantes que de s’intéresser au cas de Dieudonné. Seulement voilà, cela
dépasse le cadre de Dieudonné.
Sur la forme, il y a sans doute beaucoup de choses à dire également sur la
démarche d’un ministre qui n’accepte pas la décision d’un tribunal.
Qu’il fasse appel de la décision, soit, il en a le droit.
Il semble néanmoins légitime de s’interroger sur cette décision, venant d’un
ministre qui ouvertement, publiquement, a revendiqué être lié éternellement à
Israël, de remettre en cause la décision du tribunal pour laisser le soin, en
dernier ressort, au conseil d’Etat de « reconsidérer» la situation, conseil
d’Etat où, si je ne me trompe pas, siège notamment des personnes comme Arno
Klarsfeld, ennemi déclaré de Dieudonné.
Considérant ces aspects, sans remettre en cause les compétences du ministre ou
du conseil d’Etat, un minimum d’honnêteté intellectuelle doit nécessairement
nous amener à nous interroger sur l’impartialité du processus et au final de la
décision prise.
Saisir le conseil d’Etat pour un spectacle ? Monsieur Valls n’avait-il rien de
plus important à faire ce jour là ?
Je ne peux m’empêcher, vous en m’excuserez, une digression qui me semble
intéressante car sur cette décision il y aurait là encore des choses à dire.
Le tribunal administratif considérait qu’il n’y avait aucun élément concret
permettant de considérer que la tenue du spectacle pourrait occasionner une
atteinte à l’ordre public.
Le conseil d’Etat lui arrivait à la conclusion totalement inverse,
accessoirement celle que monsieur le ministre de l’intérieur voulait voir
validée, pour justifier sa décision.
Si l’on peut se demander quelles ont été les bases objectives, factuelles de
l’analyse qui ont permis au conseil d’Etat d’arriver à une telle conclusion, on
peut, plus largement s’interroger sur ce qu’implique le fait que l’ordre public
ait donc été déclaré en danger.
Euh, rappelez-moi, qui est garant du maintien de l’ordre public ?
N’est-ce pas justement le ministre de l’intérieur ?
En attendant du conseil d’Etat la décision qu’il voulait à
toute fin voir validée, n’est-il pas en train de faire simplement l’aveu (s’en
est-il seulement rendu compte) qu’il était tout à fait incapable d’assumer son
rôle dans le maintien de l’ordre public, au point de mettre toute son énergie
et tous les moyens à sa disposition pour faire purement et simplement annuler
un spectacle plutôt que d’utiliser cette énergie pour prendre les mesures qu’il
lui appartenait de prendre pour ce maintien de l’ordre, pour peu qu’il ait
effectivement été mis en cause ?
Sur cette liberté d’expression, on pourra enfin s’étonner de tout ce battage
médiatique qui bizarrement a, pour ce que j’en ai vu, laisser la parole
quasi-exclusivement aux opposants à Dieudonné.
Que penser d’un homme tel que Christophe Barbier qui, se disant journaliste,
n’a fait qu’exprimer son opinion personnelle sur ITéle au matin du jour où la
décision du tribunal administratif devait être rendue.
Un journaliste qui était à la fois contraint d’admettre qu’il pourrait
effectivement n’y avoir aucune raison juridique valable pour interdire le
spectacle de Dieudonné mais qui, en même temps, dit que ce spectacle doit
malgré tout, et dans tous les cas être annulé ( ?????)
Un « journaliste » qui, se jugeant sans doute détenteur de la Vérité, à la
prétention de dire aux juges la lecture qu’ils devaient avoir de cette affaire
et de conclure que si ces juges n’avaient pas la même analyse que la sienne,
alors on pourrait dire qu’ils n’ont pas bien fait leur job (textuellement, ils
devraient changer de lunettes). On croit rêver.
Comment dans le cadre d’une chaine d’information peut-on accepter qu’un homme
utilise une telle tribune médiatique, publique pour diffuser des idées qui ne
sont que le reflet de SA vision des choses ? Il y a les journaux d’opinion pour
cela. A charge pour chacun de choisir celui qu’on veut lire
On peut aussi se demander pourquoi on a laissé à autant de monde la possibilité
de présenter de façon mensongère - résultat d’une interprétation purement
personnelle - et à grande échelle le fameux geste de la quenelle comme un salut
nazi, se permettant par la même occasion
d’assimiler donc à des nazis tous ceux qui accompliraient ce geste.
Bref, une liberté de parole laissée à certains et pas à d’autre, un cas où,
ouvertement, on vous annonce qu’une décision de justice qui n’irait pas dans le
sens que certains souhaitent n’est pas, n’est plus une bonne décision ( ???)
Une affaire pour laquelle un minimum de sens critique doit permettre à chacun
de voir (même s’il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir) que
tout n’est pas blanc ou noir et le danger qu’elle représente pour chacun de
nous, rappelant simplement, comme dit le proverbe que toutes les tyrannies ont
toujours prétendu faire régner la vertu.
Date: Tue, 14 Jan 2014 11:44:24 +0100
Subject: Re: [Proposer une information] - Dieudonné et la liberté d'expression
To:
Votre papier est très naïf,
nous ne le publierons pas. Dieudonné ne se borne pas à critiquer la politique
d'Israël, il diffuse de très nombreux clichés violemment antisémites et tient
des propos révisionnistes. Voir cette vidéo, par exemple :
J’ai naturellement visualisé la vidéo en question qui était
effectivement de très très mauvais goût et qui, pour tout dire, ne m’a absolument
pas fait rire, mais qui, malgré tout, et s’agissant de liberté d’expression,
amenait selon moi à la réflexion suivante dont j'ai fais part à ce journaliste
dans la réponse suivante.
Je vous remercie de votre réponse et
analyse.
Mon propos était notamment de me
questionner sur la notion d’interprétation des propos, dans leur ensemble.
Vous me faites suivre un lien, certes
intéressant et la vidéo apporte effectivement un éclairage particulier.
Mais avez-vous également fait la démarche
de répertorier le nombre d’articles, d’interventions ou de vidéos qui
pourraient tout autant aller dans le sens inverse de ce que vous pensez
démontrer ?
J’avoue personnellement ne pas l’avoir
fait.
Et excusez moi de douter que vous ayez eu
vous aussi les moyens de le faire.
Résumeriez vous ce que vous considérez
être la pensée de Dieudonné à cette seule vidéo ?
Si c’est le cas, je comprends votre
position.
Vidéo dans laquelle, même si je reconnais
que de tourner en dérision la Shoah est de mauvais goût,
personnellement je ne pas vu de propos révisionnistes, c'est-à-dire où seraient
remis en cause des faits historiques, mais des interrogations. Et je vois un
homme qui se moque justement de la façon dont il se sait perçu. Interprétation
de chacun encore une fois.
Mais vous pensez pouvoir juger de qui est
naïf ou non dans son analyse sur ce sujet. Je l’accepte.
Quant aux clichés sur une communauté
donnée, vous savez parfaitement que c’est le point commun à de nombreux sketchs
(cf. Patrick TIMSIT et son ami catholique – qui accessoirement abordait cette
question de remettre en cause des faits « historiques ») Le bon ou le
mauvais goût de cet humour étant là encore à l’appréciation de chacun.
Sans remettre en cause votre
déontologique, vous êtes aussi un homme qui a une opinion personnelle et cela
se respecte mais pouvez vous garantir que cette opinion n’interfère pas dans le
phénomène que j’évoquais d’une interprétation orientée ?
Si vous pouvez me le garantir, alors c’est
que je suis nécessairement dans le faux et vous obligatoirement dans le vrai.
Persuadé de la bonne foi de votre réponse,
votre réponse illustre le caractère hyper-sensible de ce sujet, ce que je
comprends compte tenu de la multitude des interprétations qui peuvent en être
faites.
On peut ne pas être d’accord mais peut-on
empêcher de parler ?
Sur la notion révisionniste, il est
intéressant de relever que, sauf erreur, cette notion n’est sanctionnée que
depuis la loi Gayssot, une loi qui, selon ses détracteurs, a la prétention de
graver dans le marbre une et une seule version de l’histoire.
Vous serez sans doute étonné de savoir que
j’approuve cette version.
Mais je sais également écouter ceux qui
disent qu’ils ne sont pas d’accord avec cette méthode, ce qui est notamment le
cas de Norman Finkelstein, politologue américain, juif antisioniste, enfant de
juifs survivants du ghetto de
Varsovie, auteur de l'Industrie de l'Holocauste dénonçant ceux qui se font de l’argent sur la mémoire de la Shoah
(justement un des thèmes de la vidéo), qui jugeait une telle loi aberrante – ce
qui en même temps et selon ses propres termes l’étonnait moyennement venant
d’un pays qui considérait BHL comme un philosophe.
Mon article n’avait pour seul but que
d’ouvrir le débat à ce sujet, sur la pluralité des opinions au regard de la
liberté d’expression et sur le fait d’interdire la parole à un homme avant même
qu’il ait justement pu s’exprimer.
Je regrette de constater que cela n’est
manifestement pas possible.
Je vous remercie dans tous les cas de
l’attention portée à mon écrit, maintenant enrichi de cet échange.